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25 octobre 2010 1 25 /10 /octobre /2010 19:27
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Tu mets quoi quand il fait froid? De la cold wave. Normal. Interpol ça souffle des riffs glaçants qui font monter la température à l'intérieur. Au-dessus de Saint-Lazare j'ai toujours aimé regarder les voies s'enchevêtrer, passer mes doigts entre les interstices des rideaux de fer pour m'y agripper, regarder se mélanger le rouge des briques des bâtiments alentours avec le gris du bitume et du métal industriel. C'est comme ça, il y a des évidences... Quand on est née en février, on n'est certainement pas prédisposée à griller comme un rôti sur la Côte d'Azur...

 

Maintenant pour répondre vraiment à la question, quand il fait froid, je mets ma vieille veste Lee qui est un d'autant plus un paradis, que cet hiver elle colle pile poil aux diktats qui nous malmènent tous les 6 mois et j'enfile mes Marant, qui sont effectivement assez rigolotes à en juger par tous les commentaires qu'elles suscitent quotidiennement. Et je ne les quitte plus parce que c'est très malin un talon incorporé qui élance la silhouette tout en gardant son petit look street et que j'ai chaud, oh oui merci mère Fashion, si chaud dedans, pour aborder cet hiver qui n'a pourtant même pas commencé pour de vrai...

 

 

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Veste LEE

Chemise et Baskets ISABEL MARANT

Top AMERICAN APPAREL

Jean SEVEN FOR ALL MANKIND

Sac H&M

Casquette chez mon petit chapelier du Marais

 

 

 

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24 octobre 2010 7 24 /10 /octobre /2010 12:41

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 18:10

KARL LAGERFELD A LA MAISON EUROPEENNE DE LA PHOTOGRAPHIE

 

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Karl Lagerfeld, vaste sujet... Mégalo antipathique et déshumanisé? Génie de la mode et de la photographie à cheval sur deux siècles? Je ne suis pas sûre que le choix soit aussi manichéen. Je ne suis pas sûre non plus qu'il faille toujours vouloir aimer ou comprendre l'homme derrière l'artiste.

 

Ce dont je suis sûre, c'est qu'il faut aimer l'art, la création, l'élégance, la féminité, l'esthétisme pour aimer l'oeuvre de Karl Lagerfeld. En rentrant dans la MEP pour assister à l'expo de monsieur Lagerfeld, ce sont d'abord les tirages gigantesques de Versailles ou de New York qui ont retenu mon attention. Leur grandiloquence sobre, la magie de pigments argentés qui embellissent l'image, d'un rouge brique saturé qui symbolise parfaitement les lofts de la grosse pomme avec leurs échelles de secours enchevêtrées... C'est tout simplement beau parce que c'est le réel pris dans ses détails de structure, de matière... Parce c'est bien rangé par thématiques de couleurs, qu'il n'y a pas de fausse note, c'est harmonieux comme un défilé Chanel, comme un look de karl Lagerfeld. De l'autre côté on attaque la mode, ébloui dès l'entrée par une silhouette de Karl nimbé d'un bleu électrique que diffusent des nénons autour de son profil en taille réelle.

 

La diversité des traitements de tirages photographiques est revigorante car elle surprend. Le photographe n'a pas seulement bon oeil et bon goût, il a aussi de bonnes idées, de l'inventivité. Des photos qui passent de l'impression d'une peinture, à celle d'une sérigraphie, qui s'arnachent de paillettes glamour sur des images qui évoquent l'iconographie religieuse... Il y a les portraits nombreux de toutes les belles gueules magiques du cinéma et de la mode shootées par l'artiste, Baptiste dans tous les sens, sa muse, son corps sculptural imperfectible qui se décline en dizaine de clichés noirs et blancs... Des petits tirages de série mode tous aussi merveilleux les uns que les autres qui font régner un silence monacal dans la pièce pourtant bondée en ce début de dimanche après-midi. On a envie de décortiquer chaque image, d'être chaque femme superbe immortalisée ici, on imagine la grandeur d'une prise de vue avec Lagerfeld, on touche de très près ce sentiment d'éternité que la photographie peut parfois susciter.

C'est un beau moment de recueillement et de contemplation. C'est une vraie belle exposition d'un grand artiste de la modernité et de la féminité.

 

 

 

 

 

 LARRY CLARK, KISS THE PAST, HELLO, AU MUSEE D'ART MODERNE DE PARIS

 

 

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On s'attaque là à un tout autre registre. Cette exposition m'a plus fait l'effet d'un reportage. Celui d'une adolescence particulière, assez trash, assez crue. C'est un parti pris et je ne vous apprends rien, car il s'agit là du fonds de commerce de Clark depuis toujours.

Je ne me suis pas sentie spécialement choquée par ces images de jeunes se défonçant à coups de seringues ou par ceux qui offrent à l'objectif le corps nu de leur conquête. C'est une réalité, c'est un fait, l'adolescence est aussi l'âge des excès, des quêtes, des tentations et des tentatives. 

Je me suis en fait sentie gênée par la promiscuité de la foule s'amassant devant ce qui est absolument intime et personnel. J'aurais eu moins de mal à regarder Kids chez moi, dans le secret de ma chambre pour y ressentir de plein fouet le malaise des déviances bien réelles d'une certaine jeunesse. Etre plus proche dans cette intimité dans laquelle il faut bien arriver à pénétrer pour comprendre ce travail. J'ai été plus embarrassée de regarder un gosse aux yeux vicieux se passer une corde au cou, plus dérangée d'arpenter une salle où les clichés de portoricains moustaches naissantes sur peau pubère jouent aux caïds devant l'objectif. J'ai été plus gênée de le faire en présence d'autres gens, d'autant d'yeux, comme si nous étions bien trop nombreux pour faire ressortir quelque chose d'artistique de tout ça, comme si la masse noyait le propos.

 

Je ne suis pas sûre d'avoir aimé cette exposition. Car je ne suis pas sûre d'avoir aimé mon adolescence. Et c'est entièrement de cela dont il est question. Je ne suis pas sûre de m'être sentie bien dans mes baskets en regardant ces visages enfantins avec comme dénominateur commun cet incroyable regard d'adulte en devenir. Mais n'est-ce pas justement en cela que c'est réussi? S'être parvenu à me faire renouer en sensations réelles avec ce malaise assez indescriptible qui situe les ados entre détresse et espoir, entre innocence et violence? N'était-ce pas justement le propos? Montrer les symptomes d'une jeunesse en proie à un certain mal être, dans cet entre deux qui joue avec les limites de la décence, de la vie, de la mort, du sexe, de la drogue. Une jeunesse qui dérange quand on l'a quitté, qui choque peut-être quand on l'a oubliée...

 

C'est dommage que l'expo soit interdite au moins de 18 ans. Non pas que je milite pour l'agressivité visuelle ou toute forme de crudité un peu pronographique ou déviante qui est déjà assez impactante dans ses expressions quotidiennes tout à fait incompressibles.

Plutôt parce que pour bien parler d'une expo qui dépeint d'adolescence, il faudrait en être un...

 

 

 

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18 octobre 2010 1 18 /10 /octobre /2010 20:39

Je vais faire bref, car je n'apporterai pas grand chose à épiloguer sur le cas du sac cartable ou besace qui fait la une de tous les magazines pour cette saison. Ce qui m'intéresse plus c'est d'attirer votre attention sur cette marque pour moi jusqu'alors obsolète qui, sur ce coup là, me surprend totalement...

 

Surtout parce qu'après avoir accepté la barre psychologique des 500 euros pour un beau sac, je ne suis pas mécontente de redescendre à la moitié de cette somme pour pouvoir envisager l'achat d'un must have de bonne facture mais pour le moins stylé.

 

Bravo donc Lancaster pour ces deux jolies réussites ci-jointes, qui sont d'après moi, le palliatif tout à fait honorable à un Dreyfus déjà trop vu pour certains modèles ou à un Mulberry bien trop cher pour être envisageable.

 

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 COLLECTION SOFT VINTAGE, 249 EUROS, existe en 5 coloris

 

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COLLECTION HUNTER SOFT VINTAGE, 169 euros, existe en 2 couleurs

 

 

 

http://www.lancaster.fr/

 

 

 

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13 octobre 2010 3 13 /10 /octobre /2010 22:31
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Il y a des musiques comme ça qui ont le goût de notre jeunesse. Tainted Love, la version de Soft Cell, a exactement ce parfum d'éternité, la saveur des mélodies impérissables comme on n'en fait plus. Elle sent bon les années 80, les rocks de fin de soirée. Elle va bien avec ce look très collège un peu ringard sur les bords, un peu écolière débauchée sur le banc de touche....

Cette prise de vue a eu lieu dans des conditions un peu... particulières disons! Antoine De Caunes avait eu la bonne idée de laisser la batte de baseball avec laquelle on l'avait shooté ici juste avant moi.

Une grande idée pour finaliser ce look Us des stades version modeuse et pour m'armer d'un objet métaphorique d'une certaine colère... tout à fait à propos !! Que le timbre rocailleux de Marilyn Manson épouse idéalement dans cette reprise d'un tube parfait...

 

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Teddy REDSKINS

Chemisier THE KOOPLES

Short TOP SHOP

Boots IKKS

Bague LOW LUV by ERIN WASSON

Collier méga vintage de fond de tiroir

Batte de baseball providentielle!

 

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6 octobre 2010 3 06 /10 /octobre /2010 23:33

R.I.P Colette Renard

 

 

 

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6 octobre 2010 3 06 /10 /octobre /2010 23:08
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Pour chaque série de photos, je pense à une musique spécifique. Chaque fois, depuis plusieurs mois (avant je ne savais pas comment insérer une musique dans mes posts, blogueuse à 2 balles..!!). Une chanson qui ait du sens. Qui soit raccord en son, comme en paroles avec ce que j'ai voulu transcrire dans ces images, comme avec ce qui me passe par la tête au moment où je les publie. Ah bah oui, ça a l'air de rien comme ça mais en réalité c'est une vraie recherche de cohérence sémantique... Je vous passe les détails du choix de celle-ci que vous trouverez en lisant ses paroles sur le net.

 

Mais je ne vous passe pas ceux de toutes ces petites coïncidences délicieuses qui font que je me réjouis même d'un bon titre sur une bonne série... Il en faut peu pour être heureux!!

Le nom du groupe, L7, un groupe de filles de ma jeunesse grunge, L comme mon prénom, 7 comme mon chiffre porte-bonheur, Shitlist comme l'un des excellents titres de cet excellent film Tueurs Nés, revu très récemment, avec dedans Juliette Lewis, une rockeuse qui fut comédienne qu'on se le dise et à qui, parait-il, je ressemble un peu... La boucle est bouclée.

 

Nous sommes donc en présence de la bonne chanson sur LA bonne série, autant vous dire, celle qui est absolument tout moi de A à Z, la number one dans mon coeur en fait... Depuis la semelle rouge de mes escapades lynchéennes en Louboutins, jusqu'aux cordes de cette jolie guitare électrique, noire hypnotique, brillance fantasmagorique... Du cuir qui me colle à la peau, au micro où je sussurre mes mots... D'une vieille platine qui sent la poussière, à un gros casque qui me coupe du reste de la Terre...D'un tambourin à cymbales qui fait tinter le folk à la dentelle d'une autre époque... En passant par un vieux jean élimé sur le dos et des ongles noir corbeau. Tout est là. Exactement.

 

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Cuir CHINE BELGIAN DESIGN

Vest en jean LEE

Body H&M

Shoes CHRISTIAN LOUBOUTIN

Bague LOW LUV by ERIN WASSON

 

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5 octobre 2010 2 05 /10 /octobre /2010 23:31

Le Vogue fête ses 90 ans derrière un loup, le Grazia est, à l'heure même où j'écris, en train de faire danser les happy few de l'Opéra Garnier derrière des masques... C'est bel et bien foutu pour la primeur de l'idée du Bal Masqué pour mes 30 ans... Dommage, je n'avais qu'à naître avant la fashion week d'octobre!!

Qu'à cela ne tienne,  le masque c'est aussi l'idée d'une prise de vue que je voulais réaliser depuis longtemps... Alors puisque la vie est mal faite et que je suis ce soir au fond de mon lit, au lieu d'agiter mes Louboutins et mon loup en dentelle à l'Opéra comme prévu, voilà ma vengeance en 4 humeurs photographiques.

 

ENIGMATIQUE

 

"J'aime passionnément le mystère parce que j'ai toujours l'espoir de le débrouiller" . Baudelaire

 

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MACHIAVELIQUE

"Rien n'est aussi désespérant que de ne pas trouver une nouvelle raison d'espérer". Nicolas Machiavel

 

 

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DOMINATRICE

"L'homme jouit du bonheur qu'il ressent et la femme de celui qu'elle procure. Le plaisir de l'un est de satisfaire des désirs, celui de l'autre est surtout de les faire naître " Pierre Choderlos de Laclos, Les liaisons dangereuses

 

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JOUEUSE

" Dans le jeu on n'est pas libre, pour le joueur le jeu est un piège." Milan Kundera

 

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SCEPTIQUE

"Je suis trop sceptique pour être incrédule". Benjamin Constant

 

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"Rire de tout ce qui se fait et se dit est sot. Ne rire de rien est imbécile." Erasme

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4 octobre 2010 1 04 /10 /octobre /2010 20:54
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The Brown Bunny n’est pas un film chiant qui se résume à une fellation. Comme certains critiques voudraient bien le laisser penser...

C’est, d'après moi, l’un des films les plus sensibles, les plus nuancés et les plus justes que j’ai vus sur la perte de la personne qu’on aime.  Justement parce que les longueurs (et non les lenteurs) qui accompagnent deux tiers du film, sont exactement la bonne recette pour amener à une fin paroxystique. Parce qu’il n’y a pas meilleure peinture de la solitude, de la peine, que de les voir se dérouler sur l’expression d’un visage, au fil d’une route pluvieuse, de les deviner dans un silence parfois pesant ou d’écouter leurs chansons dans des mélodies qu’il serait maladroit de vouloir raccourcir. Le vide tellement bien habité de la première heure du film est comme une préparation à la douleur.

Ce road movie entre averse battante, lignes jaunes d’autoroutes et soleil couchant est un délice visuel pour qui aime prendre la route. Bud Clay, le motard, est bizarre, certes pommé et c’est un peu de son malaise existentiel qui passe à travers l’étirement de ce temps parcouru seul sur les routes. Ses rencontres sont aussi poétiques et courtes que les noms de celles à qui elles s’amarrent : Violet, Lilly, Rose…Qui ne mènent finalement qu’à Daisy, celle qui est le motif, le moteur, la raison  de tout ce qui se passe et ne se passe pas avant. De tout ce qui ne se passera plus non plus, ensuite…

Chloë Sevigny et Vincent Gallo, le couple fusionnel de ce film, en était un vrai également au moment du tournage. Aussi poignant que la débâcle de Cruise et Kidman dans Eyes wide Shut, l'histoire de Bud et Daisy étreint le cœur, particulièrement dans cet échange ultime, cette rencontre fantasmagorique qui clôt un film tout en émotions. Voir Gallo, recroquevillé comme un gamin sur ses pleurs, voir ses mains se perdre autour du visage de celle qu’il aime, l’entendre dire les mots crus que seul un amour sincère peut formuler alors même qu’il vit, dans sa bouche à elle, ce que la décence voudrait laisser à une intimité inviolable, c’est approcher de près, de très près, la vérité du couple. Sa magie comme sa détresse, ses promesses comme ses désillusions, sa force comme sa fragilité.

Un film photographique, sonore, qui se ressent, qui, comme tout bon film, emmène loin, très loin du quotidien tout en rappelant à quel point on est proche, si proche, de ce qui fait qu’un film n’est pas toujours qu’une fiction. Il y a une vérité qui est à son apogée absolue dans ce dialogue final de The Brown Bunny. Une intensité qui appuie forcément quelque part où ça fait un peu mal.

Mais puisque c’est fait avec autant d’intelligence émotionnelle, on veut bien être un peu maso pour l’occasion.

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3 octobre 2010 7 03 /10 /octobre /2010 20:29

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Ceci est une pub pour un blog. Celui que vous me faites le plaisir de venir lire depuis deux ans et demi pour certains. Si vous revenez ici c'est qu'il y a quelque chose qui doit vous plaire, j'en suis ravie et je vous en remercie sincèrement.

J'ai besoin de vous pour élargir le cercle de Mode Opératoire. 

Il n'y a jamais eu de pub sur ce blog comme vous avez pu le constater car j'ai toujours voulu qu'il reste un outil de liberté. Pour que Mode Opératoire vive, je n'ai pas besoin de bannières publicitaires, j'ai simplement besoin qu'il soit lu.

Je vous invite à enregistrer les images ci-dessus et à les utiliser comme bon vous semble, sur votre facebook, myspace, par mail, sur votre propre blog...Merci à tous pour votre soutien et à très vite pour la suite de cette petite série qui dira en images ce qu'est exactement Mode Opératoire.

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