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28 novembre 2010 7 28 /11 /novembre /2010 18:02

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Impossible de trouver la chanson seule... Donc vous aurez même droit au clip.

 

Doll Parts / Hole

 

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Veste et guépière H&M
Short perso
Boots IKKS
Chapeau STETSON
B.O home made!
Poupée... sacrée...

 

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21 novembre 2010 7 21 /11 /novembre /2010 16:35

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Lyrics Come Wander with me / Emilie Satt ( d'après la chanson originale de Bonnie Beecher)
He said come wander with me love
Come wander with me
Away from this sad world
Come wander with me

He came from the sunset
He came from the sea
He came from my sorrow
And can love only me

Oh where is the wanderer
Who wandered this way
He's passed on his wandering
And will never go away

Come wander with me love
Come wander with me
Away from this sad world
Come wander with me

He sang of a sweet love
Of dreams that would be
But I was sworn to another
And could never be free
 
 
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Perfecto SCHOTT
Tee shirt et bague CHROME HEARTS
Body dentelles, ceinture et legging H&M
Short en jean fripes
Shoes SAN MARINA
Bonnet SANDRO
Chapelets et pendentif PIANEGONDA et perso
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17 novembre 2010 3 17 /11 /novembre /2010 22:45

COCO ROSIE / GREY OCEANS

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J’ai attendu longtemps, très longtemps avant d’écouter Grey Oceans. Je ne sais pas pourquoi, peut être parce qu’il faut du temps, une écoute particulière pour pénétrer dans Coco Rosie. Il ne s’agit jamais avec les sœurs Sierre & Bianca, de caler un fond sonore confortable  sur le lecteur Ipod. Il s’agit plutôt d’être prête pour un voyage cotoyant souvent les frontières du bizarre. Et pour se laisser attraper par la fantasmagorie de Coco Rosie, il faut y être disposée. Dans cet album plus de piano, d’harmonie instrumentale avec un beat hip hop toujours déconcertant au milieu d’accords lyriques. C’est parfois too much, dissonant, agaçant cette voix infantile qui a l’air un peu forcée. Et pourtant, il y chez Coco Rosie tout un monde d’images et de rêveries dans lequel il est incroyablement bon de se réfugier. Loin de la ville, de l’agressivité, de la modernité, dans un univers entre obsolète et étrangeté, magie et marginalité.

Comme dans un film de David Lynch, on ne comprend pas tout au chemin que Coco Rosie veut nous faire prendre mais on a terriblement envie d’y aller les yeux fermés en acceptant de s’abandonner à l’incompréhensible mais absolument sensible.  Quand j’écoute Bachelorette de Bjork je suis dans un train lancé à toute vitesse qui m’emmène vers les neiges islandaises, quand j’écoute Coco Rosie, j’ai 10 ans et je chevauche la monture d’un manège aux mille couleurs qui tourne inlassablement… Comme si le réel n’était plus qu’un décor à des milliers de projections insensées qui s’évaporent dans le ciel que je regarde droit dans le bleu avec mes 20 ans supplémentaires.

 

LILLY WOOD & THE PRICK /  INVINCIBLE FRIENDS

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Si Duffy avait commis l’interdit avec Cœur de Pirate, ça aurait pu donner Lilly Wood & the Prick. En termes de timbre de voix….  Et si je ne suis fan d’aucune de ces deux chanteuses, j’ai plutôt plaisir à écouter Nili Hadida, la voix un peu brisée et un peu nasillarde de Lilly Wood & the Prick.

Je ne vais pas crier au génie mais je vais dire haut et fort le plaisir d’un album bien ficelé, précis, propre, efficace. Sans brisure ni grandiloquence, sans arrangements délirants ni balades envoûtantes, Lilly Wood & The Prick remplit parfaitement son rôle d’album pop folk rafraîchissant. Un vrai joli moment d’émotion toutefois avec Prayer in C, un morceau épuré assez vibrant qui laisse percer entre flûte et guitare sèche, cette jolie voix cassée un peu bluesy qui fait la poésie de cet album. Contrebalancé par l’inattendu No No ( Kids), hymne caustique à l’anti-maternité  et au refus de la propriété... Oui à 24 ans on a encore le droit de croire et de chanter qu’on va y résister et en faire une bonne chanson.

 

 

BRISA ROCHE / ALL RIGHT NOW

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Le problème quand je suis déçue c’est que j’ai mille formules débiles qui me viennent en tête pour ne pas me laisser aller à la violence pure de mon désarroi… ! En l’occurrence avec un nom pareil, j’aurais eu envie de vous tenter un « Roché me les brise… » ou « Brisa Roché… oui enfin ça casse pas des briques… » Bref, de la haute voltige. Cela dit pour être juste, ce serait tout de même un peu fort.

Oui je suis un peu déçue car avec un aussi joli pseudo mais surtout un aussi beau visage, aussi lumineux qu’une matinée d’hiver ensoleillée, on n’a pas le droit de laisser perplexe. Et le problème c’est que Brisa,  j’avoue  j’ai eu envie de l’éjecter de la platine à un moment donné sans trop savoir pourquoi. Peut être parce qu’on  ne m’avait pas prévenue qu’il fallait respecter une posologie très espacée pour suivre ce traitement… J’ai voulu m’ingurgiter tout le tube d’un coup et ça a finit par faire trop.

C’est peut être que les bonnes choses sont à consommer avec modération. Et je reconnais volontiers que Stone Trade par exemple, se laisse tout à fait écouter et réécouter, mais dans un tout de voix hétéroclites alors. C’est peut être aussi le problème d’avoir un timbre très particulier, un peu atypique , c’est à double tranchant. Ca a la grâce d’une identité forte et personnelle, mais  c’est parfois tellement fort que ça écrase tout le reste. Et si Brisa fait de très jolies choses avec sa voix, en passant par tous les octaves, c’est cette même voix qui parfois cannibalise des mélodies et un rythmique plutôt bien calées je trouve.

 

 

AGNES OBEL

NDLR: Et en attendant de vous parler de son album en entier, je vous invite à vous régaler de ce qui est définitivement une excellente découverte, Agnès Obel, signée chez le très bon label PIAS.... Dans la veine des belles à piano Tori Amos, Cat Power, Fiona Apple, elle a la grâce écrite dans la douceur de ses traits, l'émotion lisible dans la pureté de ses yeux et la sensibilité à fleurs de doigts. Un bonheur exquis, plein de délicatesse et de subtilités, qui étreint le coeur avec une tendre mélancolie absolument délicieuse.

 

 

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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 22:11
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The Difference Between us / The Dead Weather
Lyrics:
I'm not the way that you found me
I'm never here nor there
One day I'm happy and healthy
Next day I ain't doing so well

Let's go walk to the border
Let's go walk along the edge
Let's go when no one can see us
And find the difference between us

You can cry like a baby
Just let me do what I need to
It might be to me or to you
Just let me do what I need to

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Robe Zara
Gilet Seven For All Mankind
Foulard Zara
Sac perso (fabriqué au Maroc)
Croix perso
Boots San Marina
Bracelet Vanessa Dee
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11 novembre 2010 4 11 /11 /novembre /2010 21:27

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Opening Ceremony x Pendleton

  

 Ce sont les mots les plus récurrents de mon jargon modeux en ce moment… Je fonctionne parfois par lubies qui viennent toujours se greffer à des constantes immuables.

Le style native american, comprendre tout ce qui vient de l’univers  des indiens d’Amérique, me fascine depuis quelques temps. Je rêve d’un voyage aux USA pour voir le soleil orangé se coucher sur une réserve indienne, de chants autour d’un feu près du désert… J’ai des images plein la tête qui dessine les contours d’un ailleurs qui m’enchante esthétiquement comme spirituellement.

Je range mon calumet deux secondes, ok…

Cela dit, contrairement aux indiens qui eurent la primeur de l’Amérique, je n’ai pour ma part, rien découvert qui mérite de se taper les fesses par terre d’originalité.

J’ai juste continué à contempler le merveilleux style rockocobohème de la belle Erin et de voir les émules de tendance amérindienne s’inscrire dans son sillage…

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Erin Wasson

 

Headbands à plumes, ponchos, tee shirts loups vintage, bijoux turquoise, bolos ties l’été prochain à n’en pas douter… Et quand Opening Ceremony se met à faire des collabs avec Pendleton, on est en droit d'être alertée par les symptomes d'un état déclaré de « tendance »…Spécialiste de la laine tissée depuis plus d’un siècle maintenant, Pendleton s’implanta justement grâce à ses couvertures imprimées d’un jacquard dans l'esprit indien qui n’est pas s’en rappeler les gilets et autres robes, écharpes etc… que nos congénères mode portent depuis quelques mois…

 

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  LINDSAY THORNBURG

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ALICE BY TEMPERLEY

 

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 ASOS .COM (ou plutôt ASOS.FR maintenant!!)

 

Les icônes du genre: Alela Diane, Bat For Lashes, Erin Wasson, Rumi de Fashion, Coco Rosie ....

 

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Bat For Lashes

 

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Sierra et Bianca de Coco Rosie

 

Les adresses pour un look "native american"

Pour les bijoux :HARPO

http://www.harpo-paris.com/

La Caverne d'Ali Baba pour tous les bijoux en turquoise et argent, les plaids Pendleton, les ceintures coques à la Jimi Hendrix...

La trouvaille: une bague à 55 euros avec une tête d'indien à porter comme une chevalière

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(celle-ci est plus chère...)

 

Le plus: la dame qui a lancé Harpo qui vous tend un petit morceau de turquoise à glisser dans votre porte-monnaie pour vous porter bonheur...

Pour les fringues : BY MARIE

http://www.gasbymarie.fr/

Ormis la gentillesse et la simplicité de Marie Gas ( fille d'André le créateur des bijoux Gas et ell- même créatrice de sa ligne de vêtements et acheteuse pour sa boutique multimarques éponyme), By Marie est un repère de trouvailles à tendance ethnique, bohême, avec des ponchos, des gilets jacquard Heimstone, des sacs à franges, des bottes en daim indiennes....

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collection Heimstone Hiver 10/11 vendue chez Gas by Marie ou boutique Heimstone, rue du Cherche Midi à Paris

Pour les accessoires : YAYA STORE

http://www.yayastore.fr/ 

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Je vous en ai parlé récemment et depuis j'ai bel et bien craqué pour mon bracelet Vanessa Dee  depuis... On y trouve les shoes idéales pour finir une silhouette indian spirit, des besaces en cuir naturel et autres grigris ...

Pour les shoes : TATOOSH

Vendues chez Ba&sh mais surtout en large choix sur Sarenza.com, la marque Tatoosh a d'après moi ce savoir faire de la boot parfaitement proportionnée... Elle n'est ni trop large, ni trop ronde... Les cuirs ou daims naturels sont beaux et sobres, on sait déjà que c'est une paire qui va valoir l'investissement...

 

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TATOOSH / LOLA SUR SARENZA.com 

 

NDLR: Au risque de passer pour une forcenée, je le rappelle encore, notre big up spécial France en la matière, c'est bien entendu MelleSan, ses bijoux de tête à plumes, ses robes longues qui fleurent bon l'incantation mystique...

 

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www.mellesan.com

 

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10 novembre 2010 3 10 /11 /novembre /2010 00:11

L HOMME QUI VOULAIT VIVRE SA VIE / ERIC LARTIGUEAU

 

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Je vais me faire un film comme j’achète un livre…. Au départ, parfois, juste pour son titre.

Celui-là forcément, ne laisse pas indifférent. On se demande dejà qui l’en empêche, ce cher Romain Duris, de vivre sa vie ? Et bien personne en réalité, à part lui. Elémentaire mon cher Watson. Sauf que dans son cas, il faut un événement tragique pour que la détonation ait lieu. Il faut que la vie bascule avec ses aléas imprévisibles et cruels qui s’accumulent, pour que le jeune avocat se tire bien loin de sa vie réelle. Pour vivre une vie usurpée qui, finalement, n’aura jamais été aussi proche de qui il est vraiment. Loin de cet homme en somnolence, bloqué dans une vie classique quoique épanoui par ses enfants. Loin de sa femme qui l’a trompé avec un photographe arrogant…

Celui qu’il voudrait être au fond, dans le secret de son labo installé en sous sol de son petit pavillon chic de banlieue… Celui qu’il devient en mieux, parce qu’il a le talent enfoui, au fil d’un périple aussi torturé qu’intense… Au final, un « drame psychologique » qui parle de soi avec soi-même, des rêves inaccomplis, des hasards malheureux qui paradoxalement peuvent rendre vivant, des sacrifices comme des victoires personnelles… De la dualité entre mensonge et vérité, de leur jeu dangereux, de cette ambiguité qu’il y a, à pouvoir enfin être soi alors qu’on joue à être un autre.

 Un joli film qui dit beaucoup entre les dialogues, dans les plans sur les détails que l’on préfèrerait ne pas avoir vus, dans les silences qui accompagnent la solitude forcée…

Un film qui donne envie d’être libre, fondamentalement, comme pour rappeler que c’est décidément ça la vraie vie, le bonheur ultime. Etre libre.

Un énorme big up également à Nils Arestrup, qui n’est pas un bon acteur, qui est finalement un putain de mec charismatique planqué derrière un très bon comédien.

 

 LES PETITS MOUCHOIRS / GUILLAUME CANET

 

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Je ne voulais rien savoir, rien lire avant d’y aller. Parce que j’aimais l’idée de me laisser porter totalement par cette histoire de bande de potes qui soulève quelques questions fondamentales.

Alors je ne vais pas mentir, j’ai eu du mal à retenir ma petite larme et mes rires. Donc je valide, le titre est tout à fait approprié. Il y a de la joie conviviale, de l’émotion sincère, de la douleur intérieure. Mais… Guillaume Canet, cher Guillaume qui aurait pourtant spontanément mes faveurs, m’avait bien plus bluffée avec sa superbe interprétation cinématographique de Ne le dis à personne… Je lui en veux un peu de survolé dans ce film, parfois un peu long et laborieux sur certaines créneaux émotifs, toutes les subtilités de ce qui devrait faire la force spontanée de cette histoire. Celle d’une amitié de groupe qui se dissout et se résoud autour de l’accident terrible et brutal de l’un d’entre eux. Il y a un peu trop de pathos, et peut-être pas assez de nuances dans cette quinzaine au soleil qui se trame loin de l’ami blessé, à son insu… Ca s’emballe parfois mais ça n’emporte pas toujours aussi loin que ça pourrait.

Si il est vrai que chacun d’entre nous se reconnaîtra ou reconnaitra l’un de ses potes dans un des protagonistes, aucun n’a vraiment l’occasion d’aller au bout de son personnage je trouve. A part peut-être Gilles Lellouche, qui est décidément terriblement attachant et qui est un absolument bon acteur plein de charme dans son rôle de tombeur éconduit.

Pour autant, c’est étrange, je ne peux pas dire que ce soit un grand film, mais je reconnais volontiers qu’il a vraiment touché à un endroit très juste. C’est peut-être que finalement la vie n’est justement pas un film et que les Petits mouchoirs montrent cette vraie vie là. Et que ça ne mérite pas toujours pour en parler bien, de faire tout un cinéma…

 

 

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7 novembre 2010 7 07 /11 /novembre /2010 14:28

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Ca prend comme une envie de faire pipi... Pardon pour l'expression mais c'est exactement cela. Le besoin soudain de pousser les murs, voire de les casser. L'envie de tout jeter par la fenêtre, le besoin d'espace... Avant de me mettre à entonner des incantations indiennes autour d'un feu avec ma tente Quechua sous le bras, je vais me contenter de vous faire faire un petit tour d'horizon des inspirations du moment et certainement aussi des futurs acquisitions pour un nouveau home sweet home. Un bric à brac sans style fixe qui serait plutôt une réconciliation de tout ce que j'aime et qui constituerait pour moi The petit nid cosy.

 

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LE LOFT D ERIN WASSON

 

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UNE SELECTION CHEZ MAISONS DU MONDE

 

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UNE SELECTION DE DESIGNERS

 ( de haut en bas et de gauche à droite: frise EXTRATAPETE Los Angeles, Suspensions chapeaux de Jake Phipps, tables troncs, chaise Tolix)

 

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TAPIS ZARA home

 

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UN LOFT ANONYME ET LA BOUTIQUE DE SHOES ET ACCESSOIRES 58 M

 

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LES IDEES A PIQUER DANS UN GRENIER

 

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LE BUS PALLADIUM

 

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LE SELECTION ALL SAINTS HOMEWEAR

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3 novembre 2010 3 03 /11 /novembre /2010 22:18

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Après ma grande déclaration à mon BlackBerry qui a fini au placard super-ringardisé par mon Iphone, après mon cri du coeur à mes Louboutins qui sont depuis un an importées tant je fétichise leur rouge semelle et ma lettre d'amour à Peter Doherty qui est bizaremment restée sans réponse, voilà venue l'heure de l'ode dithyrambique à mes Bekett Isabel Marant...

 

Oui nous parlons bien de ces grosse sneakers qui me font des pieds-bot, de ces sketba de l'espace plus proches de l'après ski que de la chaussure civilisée.... Nous parlons de l'objet de mon délit, l'achat irraisonné et irraisonnable de l'année (ou peut-être de la prochaine également si mes finances ne s'en remettaient pas...). Une espèce de coup de tête sorti de nulle part, un gros coup de bol aussi quand on songe que j'ai déjà failli mourir 3 fois par défenestration, renversée par une voiture, poussée sous les roues par une dingue en manque et tabassée en règle dans un coin par des marteaux qui voulaient ma peau et par la même occasion mes pompes, et tout ça, puisque, depuis le mois d'août quasiment, elles sont en rupture de stock, apparemment attendues par une liste aussi longue que celle des invités à un défilé Chanel...

Bref, les avoir trouveés est tout à fait miraculeux et providentiel.

Comme quoi acharne- toi et le Ciel t'aidera.

 

C'est en désespoir de cause alors que mon nom figurait en 72 eme place sur la liste de la boutique Isabel Marant de la rue Saintonge, que j'ai passé un coup de fil un matin à Bastille et que, après ce qui aurait pu être un terrible malentendu, la vendeuse au préalable totalement défaitiste, a soudain remis du soleil dans ma vie... "Ah bah tiens justement j'ai une paire de 40 en beige et noir qui n'a pas été prise finalement"..."Ah bah tiens??" Dingue la fille, de ne pas se rendre compte qu'elle allait peut-être se rendre coupable d'un abandon de poste étant donné qu'il était tout à fait exclu de laisser passer cette chance même à 11h du mat en plein boulot!

 

Un peu d'émotion dans la voix et quelques menaces plus tard, j'ai réussi à la convaincre de me les garder jusqu'au soir. Autant vous dire que la journée fut des plus longues, je vécus de mirages en craintes inconsidérées jusqu'à la tombée de la nuit... Pour mettre toutes les chances de mon côté, j'avais convaincu mon cher et tendre "de se ramener fissa avec la caisse sinon tout est fini entre toi & moi que ce soit bien clair".

 

Evidemment pour parcourir ce que nous aurions du faire en 10 min, nous avons mis une heure. Nous sommes donc arrivés 5 min avant la fermeture de la boutique, après que j'ai pretexté à la vendeuse que j'allais bousiller sa famille si elle fermait à l'heure, pour qu'elle m'attende sagement les baskets sur le comptoir. La vie a voulu me mettre à l'épreuve d'un camion de poubelle tout le long de la rue Keller sans issue possible, je me suis vue courir comme une dératée jusqu'à la boutique car comme les grandes histoires d'amour, un grand achat ne peut avoir lieu que dans des conditions uniques et non réitérables...

 

Je me souviens vaguement d'avoir laissé la porte de la voiture ouverte, traversé la rue sans regarder et pousser la porte comme Passe-Partout détalant dans les méandres de Fort Boyard... J'ai un peu fait durer le suspens en les essayant pendant 10 min comme si je ne savais pas déjà que je les kiffais tellement fort de love, que jamais je ne pourrais repartir sans elles...

 

Depuis nous vivons elles et moi de grandes heures de complicité, de bonheur et de contemplation comme on en connaît rarement dans une vie...Je suis enfin élancée en baskets grâce à leur talon incorporé, dans mon sillage les bombasses modasses de la capitale se pâment de jalousie, j'ai chaud autrement qu'en étant obligée de me farcir des bottes fourrées, j'ai quinze ans aux ieps et mes potes skaters dans la tête alors qu'en fait j'ai la trentaine un peu barrée mais incroyablement chaussée!!

 

NDLR: cet article aurait adoré être sponsorisé mais il ne l'est pas. Il n'a été écrit sous l'emprise d'aucune substance illicite mais décline toute objectivité. Depuis quand parle-t-on sérieusement et sans emphase de chaussures qui coûtent le prix d'un voyage à New York???

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1 novembre 2010 1 01 /11 /novembre /2010 19:26
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Il aura été aussi évident que nous allions shooter ce look devant cette porte de garage que peu évident de trouver la musique qui l'accompagnerait...
 
Je vis parfois dans un autre temps, très loin de ma génération informatique, bio-éthique, fornication, super marathon... Mais je vis parfois aussi tellement dedans, que j'aime pouvoir m'en évader le plus loin possible... dès que possible...
 
Si j'ai le rock en flux continu, j'ai aussi parfois le lyrisme qui m'étreint. Et quand j'entends les envolées de la Callas, je suis dans un ailleurs qu'aucun mot ne peut atteindre.
 
En revanche ces photos, elles, ont réussi à capturer un peu de ce lieu, de ces instants précieux, où le soleil orangé de fin de journée baignait la cime des arbres roux de l'automne... Juste à côté d'un pont haut perché qui rappelle un vieux Paris empreint d'une si jolie nostalgie.
 
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Jean et chemise en cuir ZARA
Blouson NEW LOOK (hommes)
Shoes SAN MARINA
Chaussettes et sac H&M
Bonnet KOOKAI
 
 
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30 octobre 2010 6 30 /10 /octobre /2010 14:52

Quand les gens viennent chez moi il y a toujours deux choses qui les interpellent particulièrement : ma bibliothèque, tous les livres qui s'amassent autour de mon lit tout le long du mur, et mes bijoux... Des dizaines de colliers, de bagues, de bracelets qui s'entassent sur ma coiffeuse comme autant de trésors cumulés depuis des années. Des vieilleries rafistolées, des merveilles de créateurs qui ne me quittent pas, des antiquités chinées...

 

Pami les adresse parisiennes à retenir, en voici 3 d'après moi qui valent largement le détour si comme moi vous pensez qu'une vie sans bijoux ne vaut pas la peine d'être vécue!

 

 

GEMMEX

 

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Une petite boutique rue des Lombards. Têtes de morts, de lions,  croix, bagues armures, le royaume de la grosse baguouse en argent. Possibilité de commander ou de retailler sur mesure.

 

19 rue des Lombards, Paris 4.

http://www.bijoux-argent-paris.fr

 

 

YAYA

 

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Je suis passée devant la boutique tous les jours pendant 4 ans et je suis rentrée dedans pour la première fois il y a quelques jours... A l'intérieur tout ce qu'il faut pour une bonne panoplie hippie baba bobo, de l'écharpe ethnique au sac en cuir bandoulière en passant par les chaussures perlées ou en peau (House of Harlow, Aniel)... Mais surtout surtout les créations de ma chère Vanessa Dee dont je vous parlais récemment, les avatars des bracelets en cuir et fil d'argent tressés de Maria Rudman, les nouveaux gris en perles d'argent ou d'or sur coton tissé à s'enrouler autour des poignets... La caverne d'Ali Baba en somme.

 

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YAYA, 55 rue Montmartre, Paris

La bonne nouvelle c'est qu'il y a aussi un site de vente en ligne:

 

www.yayastore.fr

 

MELLE SAN

 

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Vous l'avez vu dans moults série mode, je ne quitte plus ma B.O MelleSan offerte par Sandrine avant l'été. Il est très probable que je ne quitte pas non plus les nouveaux modèles de la collection mystico blacko B.O que j'ai découverte sur les salons en octobre...

 

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www.mellesan.com

 

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  • Créatrice de la marque de bijoux fantaisie INDIE, basée à Paris. Passionnée de mode, de mots et de musique
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